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Une femme comme tant d’autres
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Une femme comme tant d’autres 26 décembre 2005, genou IP:ddb313bcd8eb5e78
Un texte qui m’interpelle, trop de réalisme dans cette prose et ceci me rend un peu amère pour ces femmes, qui je pense, sont trop nombres à se battre...
Merci Patrcik
Une femme comme tant d’autres 7 janvier 2006, patrcik IP:31016ecc99d9aaf0
Ne me remerciez, ceci est portrait ni plus ni moins. En chacun on peut montrer tel ou tel aspect en fonction de son propre ressenti et si ici une tristesse est tangible, ce n’est peut-être que ma façon de planter ce décor. Soyez en tout cas assurée du ravissement de votre commentaire.
Une femme comme tant d’autres 20 décembre 2005, Vanina H IP:c0be99cdb7957c1b
Un texte moraliste, plein d’humanité non dissimulée ! J’aime beaucoup cette écriture grave avec juste la pointe d’humour qui sied à la vie qui continue.
Sourire
Une femme comme tant d’autres 20 décembre 2005, patrcik IP:20989d0a6e8c6a02
Merci de ce compliment Vanina, vos commentaires sont pièces d’orfèvre cisellées de délicatesse. Cette femme existe, n’en doutons et c’est une de mes rares incursions dans l’authentique. La première phrase résume ma première vision. Vous le savez mieux que quiconque, le regard se fait souvent cruel à vif alors qu’il ne fait que s’étonner. Ainsi sommes-nous, émotifs, spontanés et prévisibles.
Une femme comme tant d’autres 19 décembre 2005, Delphine Lemaire IP:f849a85e8d873bf3
En lisant le prologue, j’ai cru que vous alliez parler de moi....et quelle déception...!!!
Plus sérieusement un portrait bien brossé d’une femme au caractère comme je les aime....
La vie n’est pas facile pour certaines personnes, elle est un perpétuel combat...
Merci Patrick...
Une femme comme tant d’autres 20 décembre 2005, patrcik IP:20989d0a6e8c6a02
Je vous remercie de cet instant et de cette pensée pour cette femme dont je ne connais le devenu. Seule ma compagne la paresse me prive de tisser ces portraits que régulièrement je devine.
A la relecture je constate une répétition dommageable alors que cette même femme mériterait la perfection de la narration. Las, il est plus facile de critiquer que d’œuvrer. Pardonnez-moi.