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A l’autre bout du jour
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> A l’autre bout du jour 4 septembre 2005, Viviane Lamarlère IP:9dc245a612019922
Un poème voyage teinté de sourde mélancolie.. j’ai beuacoup aimé, il se lit comme une histoire...
> A l’autre bout du jour 4 septembre 2005, Moun IP:5a62f12a6642a14f
Bonjour Viviane. Merci tout d’abord et ensuite, effectivement, c’est une histoire, une aventure dans le sens noble du terme, d’ailleurs l’unique poème à chapîtres que j’ai écrit.
Bon dimanche à toi aussi et je comblerai bientôt mon retard à te lire.
> A l’autre bout du jour 4 septembre 2005, patrcik IP:256d82cba8f00f54
Vous finissez sur une redoutable déclaration d’amour empreinte cependant d’amertume comme si une nuit (cet autre bout du jour) ne pouvait s’étirer et nous plonger à jamais dans l’obscurtité de la réalité.
Vous revoici sur "les rails de la vie", vous avez su montrer votre dextérité à suspendre un instant le Temps fatidique et me le faire oublier au point que je reste encore ici à vous contempler.
Merci
> A l’autre bout du jour 4 septembre 2005, Moun IP:5a62f12a6642a14f
Bonjour Patrcik. Je dois vous remercier pour avoir apprécié, certes, mais pour avoir entrepris une analyse de chaque chapître. Cela me laisse toujours pantoise cette facilité à exprimer les émotions des autres avec, et c’est votre cas, une justesse certaine.
Ce poème date de 2003, alors que je n’avais qu’un an et demi de pratique poétique (ceci pour expliquer les erreurs de pieds) mais au-delà de ça, tous les poèmes qui ont suivi découlent de celui-ci je crois, qu’ils soient d’amour, de tristesse, de mélancolie et même aussi parfois de cris. C’est aussi à partir de celui-ci que la poésie est devenue mon moyen d’expression favori.
Encore merci à vous, cher lecteur passionné, pour la patience que vous mettez à me lire. Je vous souhaite un excellent dimanche.
> A l’autre bout du jour 4 septembre 2005, patrcik IP:256d82cba8f00f54
"Au bout de l’horloge" j’aime puiser référence à la Tour Sombre de Stephen King (même si je me répète à tout va sur ce sujet-là). Nonobstant, vos vers deviennent plus intimistes, parisiens et amoureux, me laissant un peu esseulé sur la quête précédente où vent et sifflements (émotions/envies/désirs) rivalisaient pour me faire oublier mon existence physique et m’emporter bien plus loin même que "ce bout du jour".
Ici en est un autre : le bout de l’attente pour vous, de la venue de cet Autre que vous chérissez. Je vous sens prête à débarquer...