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Au temps de l’eau
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> Au temps de l’eau 22 août 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Entre l’envie de rire et de pleurer, je choisirai le rire mais jaune. Plus d’eau, plus de vin. Payer pour parler à une machine qui ne vous regarde pas , quelle horreur !
> Au temps de l’eau 22 août 2005, patrcik IP:637f9bc037deb1fa
Hormis cette oasis de partage sur la Grande Toile, ne croyez-vous pas qu’il en est ainsi ailleurs : des gens qui se parlent à eux-mêmes devant un écran qui s’en fout royalement. Combien de textes même mis ici ou ailleurs en lecture pour partager un moment restent pavés de silences de mots, de phrases vides où tout esprit de communion (l’étape qui transcende la communication) est absent.
Merci d’être une de mes fidèles. Ceci a plus de valeur que bien des choses...
> Au temps de l’eau 21 août 2005, Bernard Blazin IP:ff9ce3e41475620c
Du vin lyophilisé ?Ah quelle horreur..
Et puis l’autre qui répond pas. D’abord a t’il répondu un jour ?
Oui tu as raison c’etait l’bon temps quand les nuages gris nous arrosaient de cette pluie fine et froide et pas de cette poussière grisatre qui vient d’on sait pas où !
Bon t’inquiètes..Je t’assure que je te regarde quand j’t’parle, même si tu ne me vois pas..
Tu ne me vois pas ? En es tu vraiment sûr ? ;o)
Allez consolons nous . J’ai une excellente poudre de Gigondas, t’en prendras bien une cuillère ?
> Au temps de l’eau 22 août 2005, patrcik IP:637f9bc037deb1fa
Vois-tu rien n’égalera un commentaire pour illustrer un texte et ta venue ici m’instrumentalise le cœur pour le faire sourire d’aise. Ce vieux fou, c’est un peu chacun de nous et toi, le WM, tu as bien conscience des murs qui séparent chacun des internautes (ou du moins leurs egos). Ce que tu fais ici, avec ce site, aide à rabaisser ces séparateurs. Gageons qu’il en ressortira plus que le plus petit commun dénominateur !
Ce vieux qui parle de son temps, âge révolu, sans même chercher à expliquer au-delà des clichés qui rhumatisent son cerveau, agrémentant de chansons obsolètes ses délires, est-ce moi ? Est-ce toi ? Est-ce lui ? Il en est en chacun.
Mais toi, tu sais refermer le couvercle de cette parano pour accepter de partager et nous inviter à broder sur un avenir : celui de l’esprit partagé.
Merci...
Hein, que c’est beau ? Mais moins que l’eau vive... Tu chantes ?