L’enfant rêve Gaya, un monde meilleur,
Où les gens s’aimeront, où la faim s’oubliera,
Où les faibles vivront, où l’argent périra.
Un monde de chanson, de rires, de douceurs.
Dés lors la joie des chœurs changera pleurs et peurs
En un bonheur sans heurts. Hadès s’apaisera,
Le printemps viendra et la vie s’épanouira,
Dans un monde paisible plein de splendeurs.
L’enfant se plonge dans le pays des songes,
Douce fée et lui sont veillés par l’Ange.
Eveil. Fée ? Chimère... L’enfant n’a plus d’amie !
Pour ses enfants, il change le monde actuel.
Il choisit d’abolir les conflits éternels.
L’enfant est grand, son présent il l’a bâti.