Patriarche d’automne
Patriarche à l’essence et de fierté... aîné
Le désir de courber le tabac de l’été
Quatrième du nom... le savoir de nommer
S’allonger en fumoir et revoir, l’aimer
Quand l’essence d’automne au désir de fierté
Suspendue d’indigo dans le rêve argenté
Ennuagé de blanc quand la feuille perlée
Accueille les neiges aux portes d’amitié
Patriarche d’automne en désir d’allonger
Le secret de la forme en sonnet maquillé
Pour le quatrième, trois vers au pied comptés
De rendre son désir à la forêt grisée
D’un rendez-vous galant dans le pré d’une fée
Il s’éveilla et puis c’était octobre ourlé